Comment ?

Le projet vise à créer l’archive informatique la plus ouverte possible et il est composé de quatre axes principaux :
  • Création du contenu ;
  • Conception de la structure opérationnelle suffisamment agile pour pouvoir inclure différentes bases de données (musées, bibliothèques, …)
  • Développement des outils informatiques utilisés dans le projet (à la fois des outils liés à 3D, RV, … et aux bases des données)
  • Mise en place des formations générales et spécialisées liées à Chronospédia
La création du contenu est la partie la plus urgente du projet car sa non-exécution rapide mettra en péril l’ensemble du projet. Aujourd’hui sa faisabilité technique ne pose aucun problème car la conception et les premiers tests dirigés par F. Simon-Fustier (Maitre d’Art) au sein de l’atelier l’Horloger de la Croix-Rousse (Labélisé EPV) sont parfaitement concluants.

Les nombreuses discussions avec les musées français et internationaux ont permis de valider le principe de la construction de Chronospédia : elle sera structurée par mécanisme ou domaine technologique horloger et chaque chapitre sera associé à un (des) musée(s) de référence.
Dans la même logique, plus tard, Chronospédia pourrait être complétée par les contributions allemande, belge et anglaise…

Structure générale de Chronospédia

Classement par mécanisme/domaine technique, avec un musée de référence
 
Chronospédia
Musée de référence
Type comtoise Musée du temps
Type Paris Arts et métiers, Paris
Type St Nicolas + Paris Musée de St Nicolas d'Aliermont
Type Cartel Château de Vaux-le-Vicomte, Maincy
Type Neuchateloise Musée international de l'horlogerie, La-Chaux-de-Fonds, Suisse
Type Édifice Collectif
Art Campanaire Musée Paccard (MP), Annecy
Échappements Musée de l'horlogerie et du décolletage (MHD), Cluses
Sonnerie Collaboration générale
Suspension Collaboration générale


La construction de Chronospédia nécessitera la conception d’une archive numérique particulière mais également avec des problématiques déjà rencontrées pour d’autres types d’archives informatisées.
La participation au projet de l’Institut de l'information scientifique et technique (INIST) du CNRS ainsi que de la Direction générale déléguée Bibliothèques et appui à la science ouverte (DGD BASO) de l’UGA vont permettre d’utiliser les méthodes les plus modernes et les plus avancées en la matière.
Des nombreux sujets informatiques du projet (production des modèles 3D, leur visualisation, interfaçage et traitement des différentes base des données, leur sauvegarde « éternelle », …) seront traités par des collaborations avec des structures scientifiques grenobloises comme GRICAD (UGA-GINP-CNRS-INRIA) – Grenoble Alpes Recherches infrastructure de calcul intensif et de données), Plateforme Vision_R du GSCOP(GINP-UGA-CNRS – Laboratoire « Sciences pour la conception, l’optimisation et la production »).
Les formations seront opérées dans le cadre d’une collaboration entre ICAT, les CFA des Campus des Métiers d’Art et les Écoles d’horlogerie.

Construction de Chronospédia et acteurs du projet

 
Conception et
conservation
Outils informatiques
(3D, RV, RA, Data)
Enseignement
et transmission
DGD BAPSO GRICAD ICAT
INIST GSOP (plateforme Vision-R) CFA Métiers d'art
École d'horlogerie

Structures liées à l’Université Grenoble Alpes
Publié le  27 septembre 2021
Mis à jour le 24 janvier 2022